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Les pyrénéens
Grifouillé par kyungjin   ~  le 29 Janvier 2014

Petit résumé du week-end ski des 25 et 26 janvier 2014, avec le club de ski de Ruelle.

skis

Le lundi au soleil...
C'est quelque chose qu'on n'aura jamais... On a beau être vendredi, c'est sous la pluie que le départ aura lieu de Ruelle. Après les haltes à Girac, Barbezieux et Bordeaux tout le monde est à bord et l'apéro ne tarde pas à couler dans les gobelets et les gosiers.
Un attroupement se fait notamment vers le fond du car, autour d’une bouteille de rhum arrangé à la vie courte mais intense.
Ce sont des yeux distraits qui se poseront sur la télé où était diffusé le film Cloclo. Mais sans le son et avec le bazar ambiant, difficile de suivre. Par contre on connaît par coeur les images du menu du DVD qui a tourné en boucle pendant… trop longtemps.
Après un voyage sans encombre mais toujours sous l’eau, arrivée à Bagnères de Bigorre et invasion des hôtels, avec un petit couac au Trianon qui avait purement et simplement oublié la réservation. Mais chacun trouve finalement un lit.

J’aaaaattendrai...
Car toujours de la pluie en ce samedi matin, ce qui compromet gravement nos projets. L’accès à la Mongie est fermé pour cause de risques de crues et d’avalanche. En attendant, quelques emplettes gourmandes sur le marché avant une réunion de crise à 11h00, et finalement, après appels aux autres stations, les plus motivés décident d’aller à Barèges où quelques pistes sont ouvertes. C’est parti pour une bonne heure de route, avec la moitié du groupe et Cloclo qui a retrouvé la voix. Ce qui ne nous empêche pas d’admirer le paysage malmené par les intempéries. Les cours d’eau notamment se sont creusé des lits king size.
Nous arrivons à Barèges, cette année là dans la tête et la tête sous les gouttes, pour ne pas changer. Heureusement, il y a bien deux pistes ouvertes. Au moment où nous atteignons la caisse pour prendre nos chers forfaits (27€ quand même pour l’après-midi...), leur vente est suspendue pour cause de panne électrique inopinée des télésièges. Et là on se dit qu’on a vraiment la poisse. Bon, on va déjà manger un bout au snack et on verra après. Les télésièges ne sont pas restés en rade longtemps, et on peut enfin se lancer sur les pentes couvertes d’une neige un peu lourde mais correcte, sous un ciel qui commence à se dégager de ses nuages.

Bareges
Barèges : le télésiège fonctionne et on aperçoit un bout de ciel bleu, youhou !

Ricou, président du club de volley, nous gratifiera d’une chute d’anthologie. Les smartphones permettent de capturer pour la postérité sa magnifique pose, nez dans la poudre blanche.

Lafayette nous voilà !
Retour à Bagnères toujours avec Cloclo dans la télé. A la fin du film il meurt. Oh pardon, j’ai spoilé.
Nous nous retrouvons dans la salle à manger de l’hôtel pour un apero où table et carrelage auront bu autant que nous. Cédric sans doute ému par sa première expérience sur spatules renverse son verre deux fois d’affilée, sans en avoir bu une goutte auparavant, imité ensuite par des volleyeurs qui ont dû se croire avec un ballon dans les mains.
Ensuite, direction le resto où nous dégustons la spécialité de la région, une garbure, délicieuse bien que le canard semble avoir été élevé dans une mine de sel. Enfin, c’est au bar “le Lafayette” que nous finirons la soirée, entre billard, baby-foot, pichets de bière et shooters.

What else ?
Dimanche à 7h00 et des brouettes, le réveil est forcément difficile, d’autant que Marylène prend un malin plaisir à diffuser cette année-là à ses voisins de chambrée. Saletés de smartphones.
Aujourd’hui le ciel est dégagé et nous montons à la Mongie comme prévu. Avec Georges Clooney dans la télé, mais muet. The descendants, visiblement un film où les dialogues ont leur importance. Incompréhensible, donc.
Le blanc manteau luit sous un magnifique soleil jaune dans un ciel bleu qui nous permettra de profiter pleinement de cette journée.

Télésiège à la Mongie

C’est celle où on a fait le plus de ski, et finalement celle où il y a le moins à dire, les péripéties nous ayant laissés tranquilles. Hormis les traditionnels faux-départs en tire-fesse, une ou deux chutes à l’arrivée des télésièges et quelques difficultés pour Manu et Matthews à trouver où manger. Ils finiront sans regrets devant une belle planche montagnarde.

repas la Mongie

A 17h45 c’est un car rempli de 53 personnes crevées mais contentes qui repart de la station sous un climat à nouveau pluvieux. Georges Clooney parle, et il est plus compréhensible, quoi que, pas pour tout le monde…
Arrivée à l’hôtel, changement express et départ dans la foulée pour rentrer le moins tard possible. Georges Clooney fini son histoire, puis les chinois débarquent à Paris avec Jean Yanne, mais là je crois que tout le monde a décroché.
Et c’est comme on avait commencé, sous la pluie, que nous arrivons sur Angoulême aux alentours de 1h00. On va tous faire un gros dodo !

Biere la Mongie

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